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L’église en construction vers le début des années 1901 à 1905


On y voit sur la photo ci-dessous à droite l’Église en construction en arrière plan,1905

















10 mars 2010 à 22 h 58 min
Oups! Il fallait bien sûr lire: « Quant à l’institution étatique, je lui voue tout le respect qu’elle mérite (ou qui lui est dû). »
***
Avec ce genre de blogs, comme on ne peut pas prévisualiser le message, pour rectifier d’éventuelles erreurs, dès qu’on clique sur le bouton « Envoyer », c’est fini. C’est parti. Comme une balle qui sort d’un fusil !
10 mars 2010 à 3 h 24 min
Réponse (un peu tardive) à Slimane…
Quand j’ai écrit « hideuse chose qui abrite l’APC », je pensais bien sûr à l’architecture de la bâtisse (qui ne me plaît pas, c’est une question de goût, allah ghaleb ! )
Quant à l’institution étatique, je lui voue tout le respect qu’elle doit. A mon tour, donc, de vous demander de vous détromper, cher monsieur Slimane…
3 mars 2010 à 23 h 50 min
je suis pour le respect de l’histoire , telle qu’elle est , raser un monument !!! c’est raser la mémoire de l’humanité…
21 septembre 2009 à 18 h 48 min
Moi aussi j’ai eu la chance d’y avoir appris un hezb du saint Coran au cours des années 68/69, et je trouve dommage qu’on ait rasé ce vestige historique.
Mais je ne partage pas votre avis en ce qui concerne cette chose que vous haïssiez.
C’est une mairie, une institution étatique qui rend service aux gens.
vous vous trompez, monsieur le Passant.
salut à toi de tout mon coeur.
28 avril 2008 à 11 h 38 min
Bonjour,
D’abord merci pour cet excellent blog où l’on peut encore retrouver des traces d’un passé presque mythique.
Concernant l’église de colbert, chef-d’oeuvre de simplicité et de sérénité, bien que située en plein centre village, j’ai eu la chance d’y avoir suivi des cours d’arabe juste après l’indépendance, cours dispensés par un vénérable cheikh, aujourd’hui décédé.
Je trouve dommage qu’on ait rasé cette bâtisse pour la remplacer par cette hideuse chose qui abrite l’APC, tandis que l’ancienne mairie a été squattée par les banquiers.
Signes des temps qui ne trompent pas…