El-Kèfe Lahmère,
Au printemps les enfants du village faisaient des randonnées à la montagne à l’Ouest du village .
ils profitaient en fin de parcours pour se désaltérer auprès de la source Berbaga et se reposaient à l’ombre des pins avoisinant ce majestueux mont rouge dressé au pied de la montagne.
Notre Petit Canyon à nous tous !!!



















31 octobre 2010 à 11 h 39 min
salut a tous les colbrois moi je sui de ain oulmene et fèlisitation a toute les gens qui fait ce site c’est de la culture
14 juillet 2010 à 20 h 32 min
1 2 3 viva ain oulmene et 100 lgts
11 juin 2010 à 0 h 21 min
slm je suis un gar de draa el miad je passe le le slm a tous les genes de draa el miad é aine olméne
4 février 2010 à 13 h 04 min
salut pour tous les colberois ,moi je suis de maafer et j’habite en france mais j’aime bcp l’algerie et surtout ain oulmene,maafer et gharnouga…je vien chaque année et j’espére rester pour la vie.en fin je passe le bonjour a toute la famille gomri a maafer et maamech a ain oulmene…….
20 mai 2008 à 20 h 53 min
السلام عليكم
أشكر كل من ساهم في انشاء هدا الموقع الثري بالدكريات النادرة جدا والرائعة.
20 mai 2008 à 10 h 17 min
Salut !!!
Je suis un jeune de Ain-Ooulmène ex Colbert , je vous envoie mes salutations
1 avril 2008 à 19 h 07 min
Pour toi Mourad, pour le groupe.
Voici ce poème en guise d’hommage au groupe
L’âme du vin
Un soir, l’âme du vin chantait dans les bouteilles :
» Homme, vers toi je pousse, ô cher déshérité,
Sous ma prison de verre et mes cires vermeilles,
Un chant plein de lumière et de fraternité !
Je sais combien il faut, sur la colline en flamme,
De peine, de sueur et de soleil cuisant
Pour engendrer ma vie et pour me donner l’âme ;
Mais je ne serai point ingrat ni malfaisant,
Car j’éprouve une joie immense quand je tombe
Dans le gosier d’un homme usé par ses travaux,
Et sa chaude poitrine est une douce tombe
Où je me plais bien mieux que dans mes froids caveaux.
Entends-tu retentir les refrains des dimanches
Et l’espoir qui gazouille en mon sein palpitant ?
Les coudes sur la table et retroussant tes manches,
Tu me glorifieras et tu seras content ;
J’allumerai les yeux de ta femme ravie ;
A ton fils je rendrai sa force et ses couleurs
Et serai pour ce frêle athlète de la vie
L’huile qui raffermit les muscles des lutteurs.
En toi je tomberai, végétale ambroisie,
Grain précieux jeté par l’éternel Semeur,
Pour que de notre amour naisse la poésie
Qui jaillira vers Dieu comme une rare fleur
Auteur:Charles BAUDELAIRE
25 mars 2008 à 16 h 28 min
Nous étions un groupe qu’on appelle actuellement « Le cercle des poétes disparus », un nom qui est le titre d’un film.
Nous étions, Salah – Nadir- Necer EL docteur- Tatou- Habib- Abdebenour Chouichou- Mustapha l’immigré » et moi.
25 mars 2008 à 16 h 21 min
Il y a plusieurs années 1990-1994 nous avions crée une association écologique qui portait le nom de ‘El Kahf LAHMAR’ un nom lié à cet endroit pittoresque qui se trouve de l’autre versant de la montagne qui veille sur la sérénité de Ain-oulmene. Nous étions un groupe d’optimiste qui voyait la vie avec un oeil neuf et juvénile. Le terrorisme a fait que notre idée se fige et les portes de l’écologie se ferment pour laisser place aux destructeurs de l’environnement et aux bûcherons clandestins. Après quinze ans, je garde toujours dans mon coeur le premier grain de l’arbre que je n’ai jamais planté et la goûtte d’eau qui n’a jamais coulée. Peut-être un jour « El Kahf LAHMAR »