Ce jardin est situé au cœur du village, c’est le poumon du village !!!
Avec son petit bassin circulaire et son jet d’eau bordés de bûches bien façonnées en ciment noir,
nageaient des petits poissons et dès que les enfants approchaient devant eux ,ces petits poissons se dissimulaient sous le rocher où coulait l’eau à flots sous le regard de l’aigle ou corbeau en béton dressé au centre du bassin…

Ce jet d’eau a été imaginé et conçu durant les années 50 par la S.O.S (Société Ouvrière Sétifienne) Cavalière Salvatore & Gonzales .
Ce coin du paradis est bordé de pins centenaires accueillaient chaque année des cigognes, tourterelles et étrangement des oiseaux blancs qui sont venus probablement du barrage limitrophe et faisant quotidiennement chaque coucher de soleil leur gîte habituel .
Le claquement de becs des cigognes annonçait l’approche du printemps et les hirondelles lançaient aussi leurs cris de joie au dessus de nos têtes !!!
Ces oiseaux migrateurs venus de pays très lointains parcourant plus 10.000 kilomètres à la recherche de la douceur de notre soleil.
Des arbres d’ornement et rosiers blancs et roses alignés font le décor de ce merveilleux jardin.
Une scène est dressée en place prévue attendait à l’occasion,les fêtes et les évènements.


















3 novembre 2013 à 14 h 48 min
c’est super
8 juin 2011 à 12 h 23 min
Salut à tous
je ne savait pas que les jeunes de Ain oulmene s’etait interessé à la musique et à la culture en general; mais c’est bizzare,aujourd’huit,on s’interesse pas à ça!!!!!
2 février 2011 à 20 h 01 min
SALUT .TWA7ACHT AIN OULMEN.TWA7ACHTAK YA 3IN OULEMN WAKTA ANJI WANCHOFAK YA MES YEUX.
11 décembre 2010 à 14 h 46 min
bonjour.je suis un colbertois j’aime mon village et ma famille rachi
7 décembre 2010 à 16 h 00 min
LE JARDIN PUBLIC
(version corrigée)
Il était une fois,
Le jardin public de mon village
On se souvient de son jet d’eau
Surplombé par la moulure d’un oiseau
Le jardin, délaissé des années durant
La collectivité ne voit son utilité apparemment
Le temps passe
Le jardin réaménagé en terrasse
Avec un autre jet en face
Il s’est envolé, l’oiseau
Il a préféré Partir que de rester debout
Dans un jardin plein de Fous