A quelques jours de la fête de l’Aïd El Kébir, les prix des moutons sont imaginaires et ça devient quasiment impossible d’en acheter dont beaucoup de familles se seraient abstenues et ne célébraient pas le rituel d’Abraham par faute de moyens.
Quant aux fruits et légumes explosent dans les « souks improvisés » qui sont pris d’assaut par les citoyens et comme d’habitude, les vendeurs, sans aucun scrupule, profitent de la forte demande pour s’adonner à une spéculation, en l’absence des « services concernés » du jamais vu à titre d’exemple le navet et le cardon sont proposés chacun à 500 DA le kilogramme.
Bonne fête quand-même à toutes et à tous !!!

















14 juin 2024
Economie